Pascal Léger est franchisé Arliane Diagnostic Immobilier aux Essarts, en Vendée, depuis le mois de janvier dernier. Avec Toute La Franchise, il revient sur ses premiers pas avec le réseau.
Toute La Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Pascal Léger : J’ai un passé d’agent de maintenance dans l’automatisme industriel. Après plusieurs déboires liés à la crise, il m’a fallu trouver une nouvelle orientation professionnelle. Or j’avais à cœur de reprendre une activité à mon compte : j’ai cherché dans différents domaines où je pouvais me sentir à l’aise, et j’ai retenu le diagnostic immobilier. J’ai commencé ma formation en septembre 2011, obtenu mes certifications en novembre/décembre, et commencé ma prospection en janvier dernier.
TLF : Pourquoi la franchise ?
P.L. : J’ai recherché le soutien d’une franchise parce que cela me paraît important d’avoir une structure pour vous épauler quand on se lance dans une nouvelle activité. Le diagnostic immobilier demande d’être certifié dans différents modules : ça ne se fait pas à la légère, et je voulais un véritable soutien technique et juridique. Etre en groupe me permettait aussi de bénéficier de meilleurs tarifs pour le matériel, qui est cher.
TLF : Pourquoi avoir choisi le réseau Arliane ?
P.L. : Je voulais une franchise proche de ma région : je suis en Vendée et eux à Rennes, ce qui correspondait. J’ai donc rencontré M. Piotin, le développeur du réseau, avec qui j’ai eu plusieurs échanges. Cela s’est très bien passé, et j’ai également rencontré un franchisé déjà en activité. Lors de ces rencontres, rien n’était caché, les bilans étaient sur la table et j’ai pu poser toutes mes questions pour rejoindre le réseau en connaissance de cause.
TLF : Le réseau vous accompagne-t-il bien ?
P.L. : Arliane nous préconise certains fabricants pour le matériel, propose une assistance technique, et nous abonne à un outil de veille juridique pour avoir en temps réel l’évolution de la législation dans notre domaine d’activité. Après, nous restons des commerçants indépendants : ils ne sont pas systématiquement sur notre dos pour vérifier ce que l’on fait, nous avons quand même une bonne marge de manœuvre.
Au niveau des autres franchisés, la remise à jour des certifications nous permet de nous retrouver régulièrement, et, forcément, des affinités se créent. Nous communiquons régulièrement pour avoir, par exemple, un avis ou un conseil sur un cas particulier.
TLF : Comment se sont passés ces premiers mois d’activité ?
P.L. : Malgré une conjoncture extrêmement difficile, je suis dans les clous par rapport à ce que j’avais prévu. Le diagnostic n’est pas un métier planifiable, il peut se passer un long moment sans rien, et puis tout d’un coup c’est le rush. Pour donner une idée, depuis janvier, je me suis occupé de plus de 200 dossiers. Ça tourne, mais j’aimerais quand même pouvoir faire mieux. Pour l’instant je travaille seul, mais selon l’évolution du contexte économique, j’aimerais embaucher avant la fin de l’année 2014.
TLF : Comment communiquez-vous sur votre activité ?
P.L. : J’ai commencé par miser sur l’agence, qui m’offre une belle visibilité sur le secteur. J’ai également toujours un dossier avec moi pour illustrer mon travail auprès des notaires et des agents immobiliers avec lesquels je pourrais collaborer. Je fais partie de deux cercles de chefs d’entreprise, qui me permettent d’échanger des contacts. Je suis en lien avec un webmaster qui m’a aidé pour mon référencement notamment avec le principe des adwords sur Google. Enfin, j’ai participé à un week-end porte ouverte avec d’autres commerçants des Essarts. Mais pour communiquer localement, je suis ouvert à toutes les nouvelles idées !
Article tiré du site « Toute la Franchise » // Paru le 17/07/2012